Good question, because photography was in full flower by the end of the 1870s, and it might have been possible for him locate some reference photos and go from there.
Fortunately, I happen to have this book by the Musée d'Orsay in my collection. On page 110, it is reported:
Jules Bastien-Lapage éprova, durant ses séjours parisiens et londoniens, une réelle passion pour le théâtre. ....
Ce fut le cas en juin 1879, lorsqu'il se trouva à Londres en même temps que la troupe de la Comédie Français, venue pour donner six semains de représentations. Bastien-Lepage recontra et fréquenta alors plusiers des membres de la troupe: Sophie Croizette, Jeanne Samary, ou Mounet-Sully, mais ce sont surtout ses liens avec Sarah Bernhardt, dont c'était la primiere tournée outre-Manche, qu'a retenu la postérité. Instalée à part du rest de la troupe, Sarah Berhardt logeait dans une maison au 77 Chester Square où elle reçut Bastien-Lepage. Nul doute qu'aparavant il avait visité l'exposition des oeuvres -- peintures et sculptures -- de l'actrice qui se tenait au même moment dans une galerie du 33 Piccadilly, et que tous deux évoquèrent à loisir leur untérêt commun pour le peinture et la sculpture.
[As for the portrait of Bernhardt...] Cet hommage du peintre à la femme, actrice et sculpteur, a été peint durant les derniers mois de l’anée 1878 et au début de 1879. Ce fut d’alleurs un hommage à double sens puisque le modèle accepta de ne pas poser en costume du scène ni avec une de ses propres oeuvres, mais en tenue de ville et avec une statuette modelée par Bastien-Lepage … vers 1876. La tradition veut que les quarante-cinq séances de pose eurent lieu dans l’hôtel particulier de Sarah Berhardt, rue Fortuny, mais peut-être eurent-elles lieu aussi, quelquefois dans l’atelier de l’artiste, au 7 bis, impasse du Maine, où se trouvait le fragile modelage d'Orphée.
Après quelques recherches graphiques et une esquisse très enlevée du seul portrait conservé à Stockholm, ... Bastien-Lepage opte pour une réresentation de profil, de type quattrocentesque "en medaille" (de "camée" diront certains commentateurs) sur un fond neutre, et vêt son modè d'une robe de soie à motifs. ....
La réception du portrait à l'exposition [Salon des Champs-Élysées] fut presque unaniment favorable.
It seems that Bastien-Lepage was a theater enthusiast, and Bernhardt liked painting and sculpture, so they hit it off well, the example referring to a time in June, 1879 when they both happened to be in London. But they must have become acquainted before that, because he began work on the portrait in 1878, the work continuing into 1879 with numerous sittings at her place and perhaps some at his. The article on the Bernhardt portrait also notes that copies were made by Bastien-Lepage.
The book had images of three versions of the portrait. They are as follows:
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